attirés par le Sud du pays
Attirés par le Sud du Brésil après 25 ans de présence : à Vila Yolanda de Osasco de 1963 et dans la même région de São Paulo jusqu’à 1988, à Salvador de Bahia de 1970 à 1983 et à Contagem dans la région de Belo Horizonte de 1983 à 1988. Michel visite les communautés de Joinville en septembre 2007 et octobre 2012 ...
centre de formation et maison centrale
La maison de Pinheirinho à Curitiba, choisie à coté du monastère des Benedictines, ensuite déplacé en lieu plus convenable à Mandirituba, fut pensée comme maison de formation et en particulier de noviciat pour les jeunes qui venaient de faire un stage de travail, plongés dans la chaleur de Joinville.
de la solidarité de destin à l’amitié selon l’Evangile
Je suis heureuse de cette arrivée de la MOPP dans cette région du Brésil qui a donné tant de vocations à l’Église (ici, par exemple, nous sommes 7 ou 8 des Minas). Comme tu as dû le percevoir, en général nous sommes sérieux, réfléchis, tenaces, d’un cœur généreux et ami. (sœur Monique Castanheira)
la misericorde dans la grande banlieue d’Osasco
Comment ne pas penser à la première phrase de Gaudium et Spes : « Les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des hommes de ce temps, des pauvres surtout et de tous ceux qui souffrent, sont aussi les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des disciples du Christ, et il n’est rien de vraiment humain qui ne trouve écho dans leur cœur ».
avec les communautés de base
L’équipe a quitté Vila Yolanda pour laisser la Communauté se prendre en main. Jean-Marie et Gaspard y retournent de temps en temps, mais ils ont recommencé la mission dans le quartier de Jardim Veloso de Osasco à quelques minutes de là. 2 Brésiliens se sont joints à eux : Agostinho, 34 ans, maçon et Geneci, 22 ans, garçon boulanger et maintenant vérificateur de pièces.
à la source du peuple brésilien
Une équipe missionnaire, avec des européens et un nord-américain, accompagnée par des sœurs du pays, se fait petite et à l’écoute de l’âme du peuple pour lui partager la joie de la bonne nouvelle et la force de la Parole.
dans la chaudière de l’Amerique Latine
Vivre pauvrement, enfouis dans cet immense prolétariat, faire découvrir aux plus proches ce Christ qu’ils ignorent pratiquement, même quand ils ont la foi en Dieu, aider humblement à la naissance d’une vraie communauté chrétienne de base, à la naissance aussi d’un laïcat authentique jouant son plein rôle dans la cité et dans l’Église, voilà ce que nous voudrions. C’est un peu une folie pour un groupe aussi peu nombreux que le nôtre que ce départ en Amérique du Sud.